Dirda on Proust

Dear CK

Michael Dirda is one of my favorite bibliophiles. I have several of his books, which, like Mustich‘s tome, I regularly browse in utmost delight. This morning in his Bound to Please, I came across a long review of several of Proust’s works, and thought of you. I was pleased to be reminded of Shattuck’s analysis of “soul error,” which I read back in 2002. Much of the time I am grateful for an ultra-ordinary life and my ability to realize, “This it it, this is it, this is it!”

MC

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Le duc n’était nullement gêné de parler des malaises de sa femme et des siens à un mourant, car les premiers, l’intéressant davantage, lui apparaissaient plus importants. Aussi fut-ce seulement par bonne éducation et gaillardise, qu’après nous avoir éconduits gentiment, il cria à la cantonade et d’une voix de stentor, de la porte, à Swann qui était déjà dans la cour :

« Et puis vous, ne vous laissez pas frapper par ces bêtises des médecins, que diable ! Ce sont des ânes. Vous vous portez comme le Pont-Neuf. Vous nous enterrerez tous ! »

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